Smith et Palisson avec les barbarians Français

Les toulonnais David Smith et Alexis Palisson ont été retenus pour participer avec les Barbarians français.

Les entraîneurs, Fabrice Landreau, Franck Corrihons et Philippe Rougé-Thomas, ont sélectionné ailiers toulonnais pour affronter les Samoa le samedi 16 novembre (15h00) à Clermont.

Equipe Rugby Barbarians Français
Equipe Rugby Barbarians Français

Avants : Yannick Forestier (Castres), Aretz Iguiniz (Bayonne), Jean-Baptiste Poux (Bordeaux-Bègles), William Servat (Toulouse), Brice Mach (Castres), Robins Tchale-Watchou (Montpellier), Christophe Samson (Castres), Thibault Lassalle (Oyonnax), Pierre Rabadan (Stade français), Gerhard Vosloo (Clermont), Antonie Claassen (Castres), Julien Bonnaire (Clermont).

Arrières : Rory Kockott (Castres), Jonathan Pélissié (Montpellier), François Trinh-Duc (Montpellier), David Skrela (Colomiers), Rémi Lamerat (Castres), David Smith (Toulon), Sitiveni Sivivatu (Clermont), Aurélien Rougerie (Clermont), Alexis Palisson (Toulon), Silvère Tian (Oyonnax).

 

Histoire des Barbarians français : À peine le rugby a-t-il été inventé par William Webb Ellis que les étudiants d’Oxford et de Cambridge ont créé en 1890 le club des Barbarians, ouvert aux gentlemen de toutes les classes.

C’est en 1977, inspirée des Britanniques, qu’une bande de copains a eu l’idée de créer l’équipe des Barbarians français. Dirigé par Jean-Pierre Rives et Jacques Fouroux, le BRC devait être un club tout aussi atypique que mythique, attaché à des valeurs d’amitié et d’amour du rugby. Dans l’espoir de faire naître ce club en France, ils ont convaincu Albert Ferrasse et Guy Basquet, dirigeants de la Fédération Française de Rugby ainsi que les dirigeants des Barbarians anglais.

C’est finalement en août 1979 que les Barbarians français ont vu le jour.
Loin de la pression de leurs clubs respectifs, chaque joueur a un seul but : jouer un rugby qui se rapproche des traditions, où la victoire n’est pas une fin en soi. Ainsi, les vraies valeurs rugbystiques sont mises en avant : “l’attaque” devient leur motivation principale. Les Baa-baas sont synonymes d’un retour aux fondamentaux du sport qu’ils chérissent tant.